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About us Cineuropa is the first European portal dedicated to cinema and audiovisual in 4 languages. With daily news, interviews, data bases, in-depth investigations into the audiovisual industry, Cineuropa aims at promoting the European film industry throughout the world. Welcome to a platform where professionals can meet and exchange information and ideas.En1982-1984 dans le démarrage des Opération d’été aujourd’hui appelées V.V.V. (Ville, vie, Vacances) nous avions mobilisé, entre autres compétences techniques, desAprès une séparation, lorsque la résidence habituelle des enfants est fixée chez l’un de ses parents, il est classiquement accordé un droit de visite et d’hébergement au parent non gardien » à raison d’un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires. Très souvent, nous sommes interrogés sur le décompte de cette moitié des vacances scolaires. À partir de quand débutent les vacances scolaires ? Les vacances scolaires sont fixées par ressort d’académie. Lorsque l’enfant n’est pas scolarisé le samedi, elles débutent dès le vendredi soir. Lorsque l’enfant est scolarisé le samedi, elles débutent le samedi, sortie des classes. Il faut donc se référer aux dates fixées par le ministère de l’éducation. Généralement, les vacances scolaires durent 16 jours de telle sorte que la première moitié des vacances scolaires dure 8 jours. À défaut d’heure fixée dans le jugement, il appartient aux parents de s’organiser dans l’intérêt de l’enfant il est bien évident qu’un échange à 23h59 ne peut être préconisé. Toutefois, le calendrier scolaire peut parfois poser quelques colles. Les avocats respectifs ainsi que le Juge aux affaires familiales ne peuvent prévoir toutes les hypothèses de conflits et il revient aux parents de dialoguer afin de trouver des accords dans l’intérêt de l’enfant. Ainsi, le parent gardien » ne doit pas oublier que l’autre parent passe infiniment moins de temps avec ses enfants que lui. Le parent non gardien » doit se souvenir que le parent chez qui la résidence habituelle est fixée souhaite aussi se préserver des moments de qualité avec les enfants, autres que ceux de la routine du quotidien. Cas pratiques Vacances de Printemps, ZONE A, B et C Cette année, les vacances de printemps, débutent le samedi 10 avril 2021 et prennent fin le lundi 26 avril 2021 date du retour des classes. La première moitié des vacances scolaires du samedi 10 inclus au samedi 17 suivant, inclus. La deuxième moitié des vacances scolaires dimanche 18 inclus au dimanche 25 avril suivant, inclus sauf retour prévu le matin en classe. Il convient de rappeler que les déplacements, même entre régions, seront autorisés pour amener ou aller chercher un enfant ou plusieurs enfants chez un proche. Toutes les hypothèses sont difficiles à définir. Dans l’intérêt de l’enfant, il est important de privilégier le dialogue et le bon sens. Avocat au sein du barreau de la Roche-sur-Yon, je vous assiste et vous représente devant les juridictions yonnaises, sablaises, niortaises, poitevines, rochelaises et saintaises en première instance et, à hauteur d’appel, devant la Cour d’appel de Poitiers. Exerçant plus particulièrement en droit de la famille, je vous accompagne et vous conseille dans la formation de vos projets les plus importants convention de PACS, adoption.
Vacancesd'été par moitié; Jaf moitié des vacances scolaires été 2022 - Forum - Mariage; Vacances d’été 2021 - Forum - Garde d'enfants; Comment calculer la moitié de vacances scolaires?
Bonjour, Je comprends de votre message que vous êtes convenus de fixer la résidence habituelle des enfants à votre domicile, la mère exerçant un droit de visite et d'hébergement une fin de semaine sur deux ainsi que la moitié des vacances scolaires. Le droit de visite et d'hébergement constitue un droit de sorte que vous ne pouvez contraindre la mère à prendre les enfants. En revanche, vous pouvez refuser de modifier leur emploi du temps si vous êtes prévenus tardivement. Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. Réponse du 13 juillet 2020 Moitiédes vacances scolaires pour des enfants de 2 ans non scolarisés ? Moitié des vacances scolaires été 2020. Moitié des vacances d’été 2022. Moitié des vacances. Quand commence la première moitié des vacances scolaires. Voir plus de contenus.Depuis la loi n°2002-305 du 4 mars 2002 relative à l’autorité parentale, il est possible, en cas de séparation des parents, que votre enfant vive de manière alternée à votre domicile et celui de votre ex-conjointe, partenaire ou concubine. C’est la résidence alternée, appelée communément la garde alternée. Deux modes de garde Le juge peut décider de 2 modes de garde La garde classique dans laquelle l’enfant réside habituellement au domicile d’un seul de ses parents, l’autre parent disposant d’un droit de visite et d’hébergement le week-end et pendant les périodes de vacances scolaires La garde alternée où l’enfant réside de manière égalitaire au domicile de chacun de ses parents pendant toute l’année Depuis que la garde alternée » existe en droit français, il y a une constante évolution du nombre de demandes de garde alternée. En 2020, 480 000 enfants mineurs vivent en résidence alternée. En cet été 2021, vous êtes de nombreux parents à vous interroger sur les modalités pratiques de la garde des enfants en période de vacances scolaires et les moyens qui vous sont offerts, si l’autre parent ne respecte pas ces modalités, tant dans un contexte français qu’international. Comment fonctionne la garde dans un contexte national ? Lors de votre séparation, le juge décide des modalités de la garde des enfants mineurs. Si vous vous êtes mis d’accord avec l’autre parent, vous saisirez ensemble par une requête conjointe le juge aux affaires familiales pour qu’il homologue la convention relative à la garde de vos enfants jugement d’homologation. Si vous ne parvenez pas à un accord avec l’autre parent, vous saisirez par une requête le juge aux affaires familiales pour qu’il statue sur l’exercice de l’autorité parentale jugement sur l’autorité parentale. En pratique, la garde de l’enfant sera organisée par un calendrier qui fixe En période scolaire, les semaines et week-end chaque parent se voit confier la garde de l’enfant garde alternée En période de vacances, les périodes pendant lesquelles chaque parent assume la garde de l’enfant garde alternée Les week-end et périodes scolaires pendant lesquels l’enfant va vivre chez l’autre parent garde classique Il convient de distinguer ces deux périodes. Par exemple, si vous avez la garde votre enfant la dernière semaine de la période scolaire puis pendant les 2 premières semaines de la période estivale, l’autre parent ne pourra exiger d’avoir la garde de l’enfant les 3 semaines suivantes. Quels sont les risques en cas de non-respect des modalités de la garde décidées par le JAF ? Le parent qui ne respecte pas les modalités de la garde commet Le délit de non-présentation d’enfant qui l’expose à 45 000 euros et 3 ans de prison au-delà de 5 jours article 227-5 du Code pénal Le délit de soustraction de mineur par ascendant qui l’expose à 1 an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende article 227-7 Code pénal Il encourt le risque que le juge décide De mettre fin à la résidence alternée ou de modifier les modalités de la garde classique ex droit de visite dans un espace médiatisé. De le condamner sous astreinte à verser une somme d’argent à l’autre parent à chaque fois qu’il ne respectera pas les modalités de la garde De le condamner à payer une amende civile pouvant aller jusqu’à 10 000 euros Comment réagir si l’autre parent ne respecte pas le calendrier de garde de l’enfant ? Tout d’abord, si l’enfant n’a pas été remis au bout de 5 jours, vous pouvez déposer plainte pour non-représentation d’enfant, soit en vous présentant dans le commissariat le plus proche, soit en adressant directement la plainte au Procureur de la République. Ensuite, vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales du tribunal judiciaire du lieu de votre résidence article 1070 Code de procédure civile d’une demande de statuer sur l’autorité parentale Cerfa n° 11530*11 Si vous craignez que l’autre parent soit sur le point de commettre un enlèvement international d’enfant, vous pouvez demander au juge de décider que toute autorisation de sortie du territoire doit être autorisée par les deux parents et qu’il demande au Procureur de la République d’inscrire l’enfant au Fichier des Personnes Recherchées. La résidence alternée en contexte international Les textes internationaux n’ont pas prévu de textes propres à la résidence alternée. En présence de parents binationaux, il se peut que chaque parent ait sa résidence dans un Etat différent ex parents franco-belges résidant dans des villes frontalières. Dans un tel contexte international, on considère que l’enfant a sa résidence habituelle Au domicile du parent qui a la garde de l’enfant Au domicile de chacun des parents garde alternée Que faire si l’un des parents ne remets pas l’enfant à l’autre selon les modalités prévues par le jugement organisant la garde alternée ? Dans un contexte international, deux textes différents s’appliquent selon les cas. Si les deux parents résident dans les Etats membres de l’Union Européenne on applique le Règlement n°2201 /2003 du Conseil du 27 novembre 2003 relative à compétence, la reconnaissance et l’exécution des décisions en matière matrimoniale et de responsabilité parentale Règlement Bruxelles II bis. Si l’un des parents réside dans un Etat ayant adhéré à la Convention de La Haye du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants, on applique cette convention. Le retour de l’enfant dans le cadre de la Convention de La Haye de 1980 En cas de non-retour de l’enfant, vous devez saisir le Bureau de l’Union, du droit international privé et de l’entraide civile de la Direction des Affaires civiles et du Sceau du Ministère e la Justice. Cette autorité va saisir l’autorité centrale du pays dans lequel se trouve l’enfant pour qu’elle prenne toutes les mesures pour assurer le retour de l’enfant. Le retour de l’enfant dans le cadre du Règlement Bruxelles II bis Dans ce cas, vous devez saisir de toute urgence le juge aux affaires familiales du tribunal judiciaire de votre ville afin qu’il ordonne le retour de l’enfant. Le juge a six semaines pour rendre sa décision. Dès qu’il a rendu son jugement, il faudra saisir le juge compétent dans l’Etat où se trouve l’enfant pour qu’il reconnaissance le jugement. Ce tribunal ordonnera l’exécution du jugement français ordonnant le retour de l’enfant. Vous pouvez aussi porter plainte pour défaut de représentation d’enfant ou soustraction de mineur par ascendant. Dans l’affaire Mia, le Procureur de la République avait décerné un mandat d’arrêt international à l’encontre de sa mère ce qui avait permis le retour de Mia en France. Plus d’informations sur l’enlèvement parental. Coordonnées du Bureau du droit de l’Union, du droit international privé et de l’entraide civile 13, Place Vendôme 75042 Paris cedex 01 Téléphone 01 44 77 61 05 – télécopie 01 44 77 61 22 Rédaction F. HAMIDI
Gardeenfants été 2022. MS - 12 avril 2022 à 07:41. kang74 - 12 avril 2022 à 08:42. Bonjour, Je suis séparée depuis un an avec un jugement jaf. Et la garde alternéePour les vacances d été monsieur a a appliqué strictement le jugement jaf départ des vacances scolaires au mercredi 8 et quinzaine stricte. Echange des enfants le mercrediLa dernière proposition du ministre de l’intérieur visant à faire appel à l’Armée pour prendre en charge de jeunes délinquants ne manque pas de faire polémique. Elle recouvre pourtant nombre de sujets qui mériteraient d’être saisis sérieusement par-delà les effets d’annonce. * Le social encore discrédité Cette initiative trahit déjà le doute de certains politiques à l’égard de dispositifs classiques et de leurs acteurs sur la manière de faire face à ces situations. On doute des travailleurs sociaux, ceux de la PJJ comme du secteur associatif, pour prendre en charge des jeunes qui appelleraient à des réponses coercitives. Au risque d’une incohérence si ces jeunes, notamment dans les Territoires d’Outremer de Mayotte et de la Guyane explicitement visés, commettent des faits graves comme des attaques à la machette, ils relèvent d’abord de la justice pour ces actes délictueux gravissimes, sinon criminels. Elle ne manquera pas de les condamner à des peines coercitives, voire en attendant le jugement elle prendra des mesures de privation de liberté. Le nouveau code de justice pénal, adopté sous un gouvernement où M. Darmanin figurait déjà, ne permet-il pas une réponse rapide et ferme ? Le procès fait aux travail social, directement ou via les juges des enfants interpellés pour laxisme, n’est pas d’aujourd’hui. On met en cause la capacité des institutions sociales pour intervenir et offrir des structures contenantes à des jeunes violents ; on se trompe. Pour autant reste à réunir les moyens nécessaires pour les faire fonctionner à plein régime et indéniablement on sest mis en situation de ne plus les trouver en toutes circonstances à la hauteur, en nombre et en qualification. On doute aussi de l’efficacité de ces interventions. Or les quelques travaux dont on dispose 1 démontrent que l’efficacité de l’intervention judiciaire et éducative est bien supérieure à la représentation que l’on s’en fait communément. Dans 8 cas sur 10, un jeune suivi par un juge et la PJJ n’est plus délinquant à sa majorité. On peut faire un peu mieux – le 100% étant inatteignable – , mais c’est quand même pas mal. Et surtout bien mieux que ce que l’on dit communément ! En d’autres termes, si l’idée de M. Darmanin était cautionnée par le gouvernement , on devrait y voir un nouveau mauvais coup contre les travailleurs sociaux et le travail social en général discrédités aux yeux des politiques. Du plus mauvais aloi quand on est aux abois pour recruter ou maintenir en fonction des professionnels! La réponse proposée est-elle elle-même la hauteur du problème à traiter ? Avec la création d’un ou deux, voire trois ou quatre Centres éducatifs fermés pouvant accueillir une dizaine de jeunes à Mayotte imagine-t-on répondre aux problèmes sociaux, et dès lors sécuritaires, auxquels l’ile est indéniablement confrontée de longue date pour des raisons bien connues. 600O enfants n’y seraient pas scolarisés; nombre avec ou sans leurs parents vivent dans des bidonvilles. La pauvreté est dans la République ! Le problème social est majeur. Comme en Guyane, nous sommes assis sur une bombe à retardement. Ce n’est que depuis peu que des moyens financiers courants ont été rétablis par l’Etat à la Collectivité territoriale. Bien évidemment ces budgets demeurent largement insuffisants à développer une politique d’action sociale digne de ce nom. On serait effaré en se faisant présenter les moyens réels dont disposent les services mahorais de protection de l’enfance pour intervenir sur les situations avérées ! D’urgence vrai plan s’impose. Il a été élaboré ; reste à l’adopter et à le décliner. Doit-on ajouter que le problème, même moins aigue, ne se pose pas qu’en Guyane ou à Mayotte ? Dans nombre de territoires métropolitains les familles en difficulté sont laissées livrées à elles-mêmes. Les dispositifs sociaux de proximité s’y sont estompés, voire ont disparu. Par exemple, 17 départements n’ont plus de Prévention Spécialisée, c’est-à-dire d’éducateurs qui vont au contact des jeunes, là où ils sont , dans la rue, les caves ou les réseaux sociaux pour nouer une relation et agir sur la durée. Dans 5 à 10 ans – demain – il ne faudra pas s’étonner de ce que nombre de jeunes enfants et adolescents aujourd’hui livrés à eux-mêmes, fréquemment dans la toute-puissance, donc dans la violence, soient source d’insécurité majeure . On disposera d’un beau code pénal pour y faire face, mais … pas de travailleurs sociaux. Après un déplacement à Mayotte le ministre de la justice avait déjà annoncé la création à horizon 2024 d’un CEF. On admettra que l’on doive aller plus vite., mais on sait déjà que ce délai sera explosé. Le ministre de l’intérieur a-t-il les moyens d’accélérer le mouvement, voire de lamplifier, sachant comme on l’a dit , que même s’il créait une demi-douzaine de structures sur la seule ile de Mayotte il ne résoudrait aucun problème de fond ? On rappellera là encore que Jacques Chirac en 2002 en promettait un CEF par département avant d’en rabattre singulièrement. En 2017 E. Macron comme F. Hollande en 2012 promettait d’en doubler le nombre dans le cadre de sa campagne électorale. 20 ans plus tard à peine une cinquantaine existent qui accueillent entre 8 et 12 jeunes, l’expérience démontrant que la structure est elle-même menacée dans son fonctionnement au-dessus de 8. On se doit au passage de pointer deux éléments majeurs. D’abord une donnée financière le prix de journée est élevé par jeune accueilli du fait du taux d’encadrement entre 6 à 800 euros soit 120 000 euros par jeune pour un séjour de 6 mois environ. Ensuite on a toujours quelques doutes sur l’efficacité à long terme de ces structures pour »réinsérer » des jeunes. Heureusement à ce prix et avec 27 personnels affectés on obtient quelques résultats. Mais on aimerait en savoir plus avec une vraie étude longitudinale et comparative sur le devenir de ces jeunes pour ne pas se payer de mots. Comment imaginer remonter en quelques mois une pente descendue sur une douzaine d’années! Même à Lourdes certains miracles sont impossibles ! Tout au plus peut-on aider à ces jeunes laissés à eux-mêmes, souvent nihilistes et qui doutent fondamentalement du monde adulte, à rétablir un peu d’estime de soi . On peut aussi leur ouvrir des perspectives en éclairant le travail à engager. Démarche ambitieuse pour des travailleurs sociaux. Comment concevoir que l’Armée y parviendra avec son fonctionnement de base. Projette-t-on d’ouvrir des camps, à l’américaine, où on veillerait à faire crapahuter des jeunes ? Est-la voie de la socialisation? L’idée de mobiliser l’Armée ne date pas d’aujourd’hui. On se souvient déjà des propos de Ségolène Royal en 2006 pour lui accueillir des jeunes délinquants 2 voire en 2011-2013 pour intervenir carrément en suppléance de la police dans les quartiers » de Marseille relayant une autre élue de gauche , la sénatrice Samia Ghali. Et puis il y a déjà eu des démarches en ce sens. En 1982-1984 dans le démarrage des Opération d’été aujourd’hui appelées Ville, vie, Vacances nous avions mobilisé, entre autres compétences techniques, des centres de formation de l’Armée pour accompagner en toute sécurité des jeunes prédélinquants sur des activités à risque les amenant à se dépasser plongée, moto, escalade, saut en parachute, mais aussi à compter sur les adultes pour les protéger . La démarche des EPIDES et des Ecoles de la Seconde chance qui accueillent des jeunes de plus de 16 ans délinquants s’appuie aussi sur un encadrement militaire accentué. Reste que ce n’est pas l’institution Armée qui est mobilisée en tant que telle mais des citoyens ayant la culture militaire comme on fait ailleurs appel à des policiers actifs ou retraités dans l’Aude sous l’égide de Bruno Pommard, ancien responsable du RAID ou à des polytechniciens en Bretagne. Dans les Opérations d’été ce furent encore des pécheurs de l’Ile de Ré ou des paysans. En quelque sorte on fait appel à des militaires détachés dans des structures civiles comme le faisait depuis 1996 – l’amiral Brac de la Perrière jusqu’en 2004 où le ministère de la défense – RPR – a refusé à JET de lui maintenir les facilités accordées jusque-là. Dans toutes ces initiatives ponctuelles il faut voir une démarche citoyenne développée avec un réel succès qui mériterait d’être consacrée, mais soyons clairs l’Armée, pas plus que la police, n’est pas habilitée dans la protection de l’enfance ! Quel est l’enjeu ? Il ne s’agit pas de mater des jeunes en conflit avec la loi par une vie à la dure en leur montrant qu’il y a plus fort qu’eux, mais de les accompagner, de gagner leur confiance en mobilisant des hommes et des femmes qui partagent du temps de vie ou un projet. Ce dont des jeunes manquent c’est bien d’adultes de référence en lesquels s’identifier. Ils en ont généralement été privés très tôt , quand pour certains n’en ont jamais eu. Reste donc à M. Darmanin à assumer ses annonces et à préciser ses objectifs. Il pourrait se référer au rapport armées justice remis par la Mission d’appui à un partenariat Justice Armées réunissant des Inspecteurs généraux des Armées et la PJJ. Ce travail avance des pistes plus raisonnables et réalistes comme la création dune réserve de la PJJ dans laquelle serait admis d’anciens militaires mobilisables par les équipes de la PJJ, multiplication des stages au sein de l’armée, etc. on n’hésite pas à promouvoir ce qui aurait susciter voici deux décennies un mouvement de grève au sein de la PJJ – à »promouvoir une méthode d’encadrement d’inspiration ou de culture militaire ». Mais on n’en est pas à suggérer de confier des jeunes à l’Armée ! Il est certain que des jeunes peuvent être violents, voire extrêmement dangereux. Il est hors de question de nier cet état de fait. Les centres éducatifs fermés ont été créés en 2002 pour y faire face quand la prison ne s’impose pas. Même si la délinquance juvénile depuis quelques années décroit un part non négligeable s’accompagne de faits de violence, y compris de violence graves. On se doit de réagir sinon de prévenir. Pour autant autrement que par des mouvements de jugulaires. Tout simplement on est choqué devant l’image stigmatisante renvoyée des Ultramarins pour lesquels le ministre entend spécialement faire appel à larmée ils sont justes bons à ce qu’on leur envoie l’Armée pour juguler leurs enfants ? Un relent de colonialisme ? Une nouvelle fois le ministre de l’intérieur n’est-il pas allé trop vite après son déplacement à Mayotte ? Il tombe dans le camp sécuritaire à courte vue quand des projets plus ambitieux et pertinents sont sur table. La facilité et l’effet d’annonce! L’ancien temps est de retour. * l Le moment est venu, on se répète, d’aborder les vrais problèmes. Pour cela il faut dépasser les invectives, les procès d’intention et les fausses représentations. Une vraie table-ronde s’impose réunissant entre les principaux concernés, les pouvoirs publics d’État et territoriaux, les professionnels et leurs institutions, les représentants de la société civile. Bref, un véritable accord Etat-collectivités territoriales doit être recherché, adossé à l’expertise des professionnels et des gens de terrain. D’entrée de jeu il est clair que l’on devra traiter de pair deux problèmes 1 répondre aux jeunes actuellement délinquants et donc au problème de sécurité à court et moyen terme ; 2 s’attacher à travers une politique de gestion de l’ordre public à court terme à ce que de nouveaux jeunes ne deviennent pas délinquants. On le répète une nouvelle fois ces deux efforts doivent être déployés dans le même temps l’un crédibilisant l’autre. La mobilisation doit être générale. Des services sociaux de proximité en allant jusqu’au suivi concret de jeunes déjà en difficulté. Pour cela il faut des personnels en nombre et qualifiés. La tâche est ardue pour les trouver et implique là encore un effort en profondeur qui n’est possible que par une singulière revalorisation des professions sociales revalorisation de leurs conditions de travail et de leur rémunération, mais aussi réhabilitation de leur efficacité sociale dans le discours public quand eux-mêmes doutent de leur impact . On doit aussi s’efforcer de mobiliser des citoyens dans des démarches d’accompagnement de jeunes, pour partager des temps de vie authentiques avec eux car tous ces jeunes manquent d’adultes de référence, et souvent d’hommes. On a vu que c’était possible. Quittons l’expérience pour pratiquer cette démarche à grande échelle. Encore faut-il aussi s’attaquer aux problèmes de fond les conditions de vie souvent indignes des familles dont sont issus ces enfants – comment escamoter la pauvreté et le dénuement ?- , trop souvent absence de scolarisation et de soins adaptés, et surtout manque de perspectives positives. Comment négliger comme à Mayotte l’immigration sauvage ? 3 On voit combien on est loin de l’approche en reflexe du ministre de l’intérieur fidèle à ses prédécesseurs certes – conf. le JP Chevènement de 1989 – , soucieux de répondre aux problèmes d’insécurité au quotidien, tombant comme ses prédécesseurs dans la réponse simpliste et démagogique . Le ministre encore récemment maire de Tourcoing ne peut pas ne pas ignorer ces réalités sociales! Il est temps de renoncer à des réponses simplistes et institutionnelles sur un sujet aussi complexe et humain. C’est l’intérêt de chacun pour éviter des drames, des vies brisées de victimes ou de jeunes, mais aussi dans l’intérêt collectif pour assurer la paix intérieure quand nous avons tant et tant de problèmes majeurs à traiter par ailleurs. 1 Notamment le rapport du sénateur Lecerf 2011 2 Billet 183 sur ce blog 3 On lira avec intérêt le billet reproduit ci-dessous de Maxime Zennou, responsable du Secteur jeunesse au sein du Groupe SOS et animateur du réseau Ultramarin du social Faut il confier la prise en charge des mineurs délinquants aux Armées à Mayotte ou ailleurs ? L’idée peut séduire les populations en attente légitime de sécurité. La réalisation est plus aléatoire qu’il n’y parait. Avant d’annoncer une action publique supposément nouvelle, il est judicieux d’analyser les causes structurelles et pluri factorielles de la délinquance, de les traiter et d’évaluer les politiques publiques déjà à l’œuvre avant de promouvoir, comme si on allait faire table rase, une réponse aux effets magiques. Rien de tel dans la réalité. Les causes de la délinquance sont multiples et prospèrent sur le terreau de l’extrême pauvreté, d’une démographie galopante, de conditions de vie indignes dans lesquelles les droits humains fondamentaux ne sont pas respectés. On ne citera que le droit à l’éducation et par exemple la non scolarisation de milliers d’enfants dont on vous laisse imaginer les effets chez des enfants et des adolescents tôt en perdition. Concernant la sollicitation de nos Armées, le sujet n’est pas nouveau. Mais évitons la confusion. Aux uns la mission d’assurer la défense nationale, à toute la société civile, aux familles et aux pouvoirs publics d’assurer les missions d’éducation parentale, nationale ou spécialisée. Notre pays à la chance de disposer d’un large dispositif de protection de l’enfance et de protection judiciaire de la jeunesse dont les missions doivent être confortées et les moyens renforcés en particulier en territoire ultramarin. A Mayotte, les moyens et la technicité se développent peu à peu. Mais à l’image de toutes les politiques publiques à Mayotte, le volume des réponses n’est pas ajusté à l’ampleur exponentielle des problématiques. Les collaborations Armées-justice viennent à peine de faire l’objet d’un très récent et remarquable rapport nourrissant une Mission d’appui à un partenariat Justice-Armées » conduit conjointement par les deux ministères de références. La création de tels centres y est écartée pour privilégier des collaborations plus fines prenant appui sur des réalisations reconnues comme le RSMA. Les centres de rééducation et de redressement » imaginés ont été testés sans produire de résultats très probants. Attendons de voir leur nouvelle formulation. Il ne faut jurer de rien. Commençons déjà sans opposer les politiques entre elles à faire en sorte que chaque enfant et chaque jeune à Mayotte et ailleurs se voit bien proposer, et parfois imposer, une réponse d’abord éducative contenante et ferme si besoin mais toujours bienveillante. Pour finir, nous poursuivons pour ce qui nous concerne notre action au quotidien comme cette sortie en forêt avec les jeunes du centre éducatif renforcé de LOZERE. Un tel dispositif existe aussi à Mayotte qui accueillera prochainement son centre éducatif fermé. Là encore pas de réponse miraculeuse mais plutôt la recherche constante d’un juste équilibre des politiques publiques. GROUPE SOS en Outre-mer, pour entreprendre au profit de tous. Lesvacances à prendre en considération dépendent bien entendu de l’académie dont dépend l’établissement scolaire des enfants. Il vous suffit d’aller sur le site de l’éducation nationale. Concernant l’heure, vous trouverez ici un calculateur qui vous permettra de déterminer la moitié des vacances à l’heure près. Fini les longs calculs fastidieux ! Association adei divorce Droit de visite et d’hébergement Principe du droit de visite et d’hébergement Définition du droit de visite et d’hébergement Suite à un divorce, le droit de visite et d’hébergement peut être fixé soit par accord entre les parents ou soit par décision du juge aux affaires familiales. Ce droit de visite correspond le plus souvent dans le fait pour le parent qui n’a pas la garde de l’enfant à pouvoir reçevoir celui-ci chez lui un we sur deux et la moitié des vacances scolaires. Les parents, s’ils arrivent à se mettre d’accord peuvent décider autre chose. Ce droit de visite concerne bien entendu le parent qui n’a pas la garde de l’enfant et donc la résidence habituelle de celui-ci. Le parent qui a la garde habituelle de l’enfant n’a pas le droit de s opposer au droit de visite de l’autre parent. Il risque sinon une sanction pénale au motif de non présentation d’enfant. Quelle sanction si le bénéficiaire du droit de visites n’exerce pas son droit ? Lorsque l’un des parents qui a un droit de visite ou d’hérgement n’exerce pas son droit à l’ègard de son enfant, le juge aux affaires familiales peut être saisi pour le condamner à une sanction. S’il n’est pas possible de le contraindre à exercer ce droit, le montant de la pension alimentaire dû par le parent peut être augmenté. En cas de divorce, quand est décidé le droit de visite et d’hébergement ? Pendant la procédure de divorce les parents tentent de s’accorder sur les conditions de ce droit de visite. S’ils arrivent à un accord, alors le juge validera cet accord. Il décidera en revanche à la place des parents si ceux-ci ne se mettent pas d’accord. Quelle est la sanction en cas de non respect du droit de visite et d’hébergement pas le parent ayant la garde ? Article 227-5 du Code pénal en cas de délit de non présentation d’enfant mineur. Il énonce que “le fait de refuser indûment de représenter un enfant mineur à la personne qui a le droit de le réclamer est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.” Si vous êtes concerné vous devez donc aller à la police et déposer plainte. La police pourra venir avec vous réclamer l’enfant. Cela arrive le but étant d’essayer d’arranger la situation. Le juge n’aime pas sanctionner dans une histoire familiale, c’est toujours délicat. Toutefois si votre conjoint exagère il n’hésitera pas pour se faire respecter. Résumé de la page Droit de visite et d’hébergement le droit de visite et d'hébergement est fixé par le juge ou par acord entre les parents. Le droit de visite et d'hébergement est un droit naturel aussi celui qui ne le respecte pas s'expose au délit de non présentation d'enfant. Si vous vous posez des questions concernant droit de visite et d’hébergement, n'hésitez pas à demander notre avis en laissant une question. Nous ferons en sorte, dans la mesure du possible, qu'un avocat vous éclaire gratuitement. Questions de procédure de divorce Exemples de questions posées concernant le droit de visite et d’hébergement Droit de visite du père J’ai eu la garde de notre enfant, son père étant incapable de s’en occuper correctement. En revanche le juge lui a accordé un droit de visite. Je ne suis pas d’accord. Hier il est revenu de chez son père sale. Il n’avait pas été lavé du we. Ses devoirs n’avaient pas été faits. D’ailleurs quand je demande à mon fils s’il s’est bien amusé, il me dit que non, qu’il a passé son temps devant la télé. Je crains pour son avenir psychologique. Etant donné qu’il est en danger, je ne vais pas la présenter la prochaine fois au droit de visite de son pére. Qu’est-ce que je risque ? Est-ce que je peux saisir en référé le juge ? Droit de visites non respecté Ca fait trois fois que je me déplace pour prendre mes enfants pour mon droit de visite et d’hébergement. A chaque fois ils ne sont pas prêts la dernière fois j’ai du attendre une heure trente dans la voiture . Je me doute que ma copagne en fait exprès. Qu’est-ce que je peux faire pour changer ca et que le droit soit fait à l’heure prévue par le divorce ?Dois-je déposer plainte ? Droit de visites après divorce pour les grands parents Mes parents me demandent s’ils peuvent avoir un droit de visite aussi pour pouvoir voir leurs petits enfants. Moi je veux bien leur apporter pendant mon droit de visites, mais du coup ca fait court. Dans quel mesure un juge peut accorder un droit de visites en plus pou les grands parents c’est moi qui irai chercher les enfants en leur nom Dépôt de plainte Hiere j’avais mes trois enfants en visite et hébergement chez moi. On était dimanche. Le divorce prévoit que ce droit de garde vaut jusqu’à 18 heures. A 16 h 30 elle était déjà là devant chez moi pour récuperer les enfants car ils ont de la route pour rentrer chez eux. J’ai refusé en disant que ce n’était pas l heure. Elle a déposé plainte et c est la police qui m’a appelé et qui m’a menacé que si je donnais pas les enfants alors ils allaient enregistrer la plainte ! J’ai eu beau expliquer le cas ils ont maintenu ! Ce n est pas normal. Que puis-je faire ? Droit de visite et d’hébergement en vacances J’envisage d’aller en vacances en nouvelle Zelande. Il serait plus profitable étant donnée la distance d’avoir toutes les vancances d’été. Mais je n’ai droit qu’à la moitié des vacances scolaires en droit de visites et d’hébergement. Je connais mon ex elle est psychorigide. Même si c est mieux pour notre enfant elle va refuser en disant non le juge a prévu autrement, ce n’est pas possible. Existe t’il une possibilité de saisir le juge asser rapidement pour avoir son autorisation et ainsi couper court aux arguments bidons de mon ex ? Menace de mon ex sur le droit de visites J’ai une vie professionnelle et amoureuse assez décousue depuis notre divorce. J’essaye de faire au mieux mais ce n’est pas facile. Il arrive que je n’exerce pas mon droit de visite et d’hébergement quand c est pas possible. Mon ex me menace de saisir le juge car soit disant que ca perdube mon enfant de ne pas savoir à l’avance s’il je vais venir le chercher ou pas. J’ai demandé à mon fils qui m’ a dit que c’est pas lui qui râle quand je ne viens pas mais sa mère. Qu’est-ce que je risque ? Je croyais qu’on était pas obligé de tout le temps exercer ce droit ? Droits de visites et hébergement A la suite de mon divorce j’ai retrouvé un compagnon avec qui je partage ma vie. Le problème est qu’il a comme moi des droits de visites à exercer pour ses filles. Moi j’en ai pour mes enfants un garçon , une fille . Ca ne tombe pas les même we. Non seulement du coup on passe notre temps sur la route car nous sommes respectivement à 300 km et 200 km où aller les chercher mais en plus ca ne tombe pas les même vacances , question de zone… Qu’est-il possible de faire ? Peut-on saisir le même juge pour qu’il prenne une decision d’ensemble pour notre nouvelle famille ? Séparation et droit de visite Je viens de me séparer de ma concubine , il y a une semaine et nous allons divorcer. Nous avons un fils de trois ai des difficultés à avoir mon filse le week end et pouvoir le prendre régulièrement. Mon fils est tout pour moi. Je suis actuellement hébergé chez mes parents et travaille dans lintérim. Comment faire pour avoir un droit de visite ? Demande éclaircissement droit de visite C’est la 1ère fois que mon ex mari doit prendre les enfants lors des vacances scolaires pour son droit de visite. Je souhaite que vous m’apportiez un éclaircissement quand à l’heure et aux jours ou il doit les récupérer. Je vous joins ci-dessous l’extrait officiel de la convention qui a été signé par monsieur. “Le droit de visite et d’hébergement de Monsieur s’exercera à l’amiable et à défaut d’accord toutes les fins de semaines paires les samedis de 10 heures à 19 heures et les dimanches de 11 heures à 17 heures 30, Et du vendredi 19 heures au dimanche 18 heures les 2èmes fins de semaine paires du mois, ainsi que pendant les vacances scolaires une semaine durant les vacances d’hiver de février et 2 semaines durant les vacances d’été, 2 semaines en juillet les années paires et 2 semaines en août les année impaires.” Non respect du jugement jaf du droit de visites et d’hébergement Mon ex mari ne respecte pas le jugement du droit de visites et d’hébergement où il devrait venir chercher les enfants un week end sur deux et la moitié des vacances. Jugement actés depuis juillet, il les a pris 3 jours, et aout une semaine aulieu de 15 jours. il n’est jamais venu les week end, ni pour les derniéres vacances de février. Il les a pris une semaine en novembre et une semaine en faire pour le faite qui ne respecte pas le jugement JAf ?
Gladys R. a fait appel à Wanted Pedo pour la soutenir dans son combat faire entendre la parole de sa fille et la protéger d’agressions sexuelles incestueuses de la part du père. Face aux pressions qu’elle subit de la part des instances de justice ainsi que de la gendarmerie, nous lui donnons l’espace de s’exprimer publiquement. Le contexte et les témoignages de l’enfant Gladys est maman d’une petite fille de 5 ans, que nous appellerons Louise. Louise est née de l’union de Mme Gladys R. avec M. Anthony H. Le couple est séparé depuis avril 2017 Depuis la séparation le mode de garde est le suivant résidence fixée au domicile de la mère droit de garde du père un week-end sur 2 et la moitié des vacances scolaires En Août 2018, Louise témoigne d’agressions sexuelles de la part de son père à son retour de vacances avec lui en Tunisie. Elle a alors 3 ans. *Pour des raisons évidentes de respect de l’intimité et de la pudeur de Louise*, nous partageons son témoignage sous forme audio sans l’image. Nous vous précisons que lors de ses témoignages, Louise* décrit et reproduit des gestes de masturbation au niveau de son sexe. Écouter le témoignage 1/2 Écouter le témoignage 2/2 Louise a également parlé des attouchements sexuels en classe et le directeur de l’école a fait une information préoccupante. Louise a renouvelé son témoignage devant un psychologue ordonné par le juge aux affaires familiales. L’expert précise A l’âge qui est le sien, il est impossible de considérer que de tels propos soient nés du simple imaginaire d’un enfant il s’agit de gestes et de propos désignant un acte de sexualité génitale adulte naturellement absent de l’imaginaire infantile. » Gladys nous explique la chronologie des événements A la suite de la plainte d’agressions sexuelles incestueuses sur ma fille, j’ai demandé l’éloignement du géniteur suite à son harcèlement, insultes par écrit, agression à mon domicile, abandon de famille, tentative d’enlèvement de mon enfant, menace de mort, coups et blessures. tout ça en 1 an et en vain. » Une des agressions s’est produite au domicile de Gladys. Elle était avec sa fille et une amie, qui a témoigné. Monsieur est venu accompagné de sa famille, tambouriner à sa porte en l’insultant. Les gendarmes sont intervenus au bout de deux heures et demi de menaces et insultes. A la sortie de l’école il a voulu récupérer Louise* de force et a tenté de l’arracher des bras de la mère de Gladys. Il a ensuite agressé celle-ci. Des témoins sont intervenus. Louise* était en pleurs et terrorisée. Quand ma mère et ma fille étaient en sécurité je suis intervenue pour le calmer. Il m’a insultée et a fini par me taper en me menaçant de mort et qu’il m’enlèverait ma fille. » nous explique Gladys Ces plaintes n’ont donné lieu à aucun procès, ni enquête sociale concernant Monsieur H. Vices de procédures flagrants et non prise en compte de la parole de l’enfant L’audition de Louise aura lieu 10 mois après le dépôt de plainte. La procédure Mélanie n’est pas appliquée Louise sera entendue dans les locaux de la gendarmerie par 2 gendarmes en uniforme. Louise, à ce moment âgée de 4 ans, est entendue seule, sans présence de pédopsychiatre. Malgré les demandes de la maman, la retransmission écrite ne lui a toujours pas été transmise. En octobre 2019, la plainte pour agressions sexuelles incestueuses est classée sans suite faute d’éléments » 21 jours seulement après l’audition de Louise par les gendarmes. Lors des auditions en gendarmerie, Gladys est très mal reçue, comme l’immense majorité des femmes victimes de violences, que ce soit pour témoigner de la violence psychologique et physique de son ex-conjoint et déposer plainte, autant que lors du dépôt de plainte pour protéger sa fille à la suite de son témoignage d’agressions sexuelles incestueuses. Malgré ses demandes, la mère n’a eu aucun accès à l’enquête préliminaire pour comprendre les motivations d’un classement sans suite. Suite aux intimidations récurrentes, la mère a par ailleurs porté plainte contre les gendarmes pour abus de pouvoir. En réponse aux pressions qu’elle a subies, Wanted Pedo prévoit un prochain article à part entière avec preuves à l’appui. Le JAF rendra le 22 août 2019 un jugement positionnant le mode de garde Lieu de résidence chez la mère Mise en place de visites médiatisées pendant 2 mois pour reprise du mode de garde du père jusqu’à un week-end sur 2 et la moitié des vacances scolaires Le JAF assoie ainsi l’autorité parentale conjointe de Mme Gladys R. et M. Anthony H., ayant une opinion prononcée quant à la véracité du témoignage de Louise alors même que l’enquête pour agressions sexuelles incestueuses est encore en cours. Précisons ici que le niveau pénal plainte pour agressions sexuelles incestueuses a longtemps prévalu sur le civil mode de garde, avant le changement législatif récent et controversé. Le jugement prononcé par le JAF est en date du 22 août 2019 mais le classement de la plainte pour agressions sexuelles incestueuses est en date du 11 octobre 2019. Le JAF a donc décidé du mode de garde selon sa propre interprétation de la situation et selon sa subjectivité, sans tenir compte de l’avis émis par l’expert psychologue qui exprime l’impossibilité pour un enfant d’imaginer des gestes sexués. extrait du jugement du JAF Le juge, bien que n’étant pas pédopsychiatre, estime que “Les propos de Louise*, bien que réitérés devant l’expert comme à l’école, sont à relativiser dès lors que l’enfant était âgée de seulement trois ans et demi lorsque ces révélations ont débuté, qu’elle était donc particulièrement suggestive.” Il n’attend même pas le résultat de l’enquête en cours pour se forger une opinion et définir le mode de garde de Louise* en fonction de sa subjectivité, négligeant complètement le risque de récidive et donnant sa bénédiction à l’exercice des droits du père. Un profil psychologique à prendre en compte Concernant la personnalité de Monsieur H, Gladys R. décrit un homme à deux visages un très sympathique pour l’extérieur et un autre maussade et cruel vis à vis d’elle. Quand on s’est rencontrés c’était absolument magnifique, il était charismatique, je le mettais sur un piédestal. Mais très vite je me suis retrouvée à sa merci, coupée de mes amis et mon entourage, sans travail et sans appartement. » Il passait constamment du chaud au froid. Il voulait tout savoir tout le temps, je devais faire un rapport détaillé, ne plus avoir d’intimité physique et morale. C’était des brimades, des phrases anodines mais méprisantes. La dévalorisation le dénigrement au quotidien, c’est épuisant. » D’avant la séparation, monsieur s’investit très peu dans le quotidien ainsi que les soins portés à Louise*. Gladys le décrit comme arrogant et sans cesse dans la séduction à l’extérieur et des excès de colères soudains, mais toujours au sein du foyer. J’ai trouvé la force de partir quand j’ai eu ma fille, pour ne pas qu’elle ait ce modèle de couple là et qu’elle ne vive pas le conflit familial. » A la suite de la séparation, il pleure devant Louise*, lui fait croire qu’il est gentil et très malheureux, que moi je suis nulle et très méchante et surtout que tout est de ma faute. Mon enfant subit des pressions, du chantage, un véritable lavage de cerveau jouant sur l’émotionnel et la culpabilisation, l’inversion des rôles et la victimisation. » Ce n’est qu’après la séparation que j’ai pris conscience qu’il m’avait détruite moralement et psychologiquement. Je n’étais plus moi-même. » Gladys est inquiète concernant les fréquentations et l’entourage mafieux du père; elle craint pour sa sécurité physique et celle de sa fille. Nécessité de fuir et appel à soutien citoyen Face à ce déni de justice et aux menaces de récidive d’agressions sexuelles sur Louise*, Gladys a préféré ne pas rester chez elle. Accusée de non représentation d’enfant, comme dans de nombreuses situations où la responsabilité du parent et sa volonté de protection se placent au dessus des aberrations institutionnelles, autrement dit à leur juste place. Je crois ma fille. En mon âme et conscience de mère il est hors de question que je confie Louise* à son géniteur incestueux. Un signalement de ce dernier, souhaitant couper le lien entre Louise* et sa mère protectrice est suivi par l’ASE qui préconise la soustraction de l’enfant à Gladys. Cette injonction est dans la lignée du jugement rendu par le JAF qui présente Gladys comme une personne de mauvaise foi et se base sur 3 visites d’1 heure au Conseil départemental dont nous n’avons aucun compte rendu. Malgré toutes ses demandes et malgré l’obligation légale, Gladys n’a eu accès à aucune information motivant le positionnement de l’ASE. voir en fin d’article témoignage vidéo de Gladys Devant le nombre de situations similaires que nous suivions où lASE appuie le discrédit du parent protecteur allant jusqu’à préconiser le placement, nous ne sommes pas surpris, choqués OUI, à chaque fois, mais aujourd’hui surpris NON… Concernant Louise* et les conséquences pour Gladys, notamment d’être considérée comme fugitive aux yeux de la loi, cet article a pour intention de sensibiliser l’opinion publique sur les méthodes abusives des pouvoirs publics et également de solliciter le soutien en créant un contre pouvoir afin de protéger Louise*. Nous croyons fermement que la démarche de Gladys est motivée par l’instinct de survie et de protection. Devant ces défaillances systémiques de l’appareil socio-judiciaire, nous lui apportons tout notre soutien. Le mot à la maman Ma fille et moi sommes victimes, je suis obligée depuis 2 ans de prouver la véracité de mes plaintes en répondant aux gendarmes, en me défendant devant JAF, JDE, en acceptant une expertise psychologique, une enquête sociale, en faisant une pétition, en médiatisant ma situation et ma vie privée… alors que l’accusé est innocenté sans besoin de défense. » Je ne suis malheureusement pas un cas isolé et je ferai tout pour la défense de nos enfants. Et pour ceux que ça étonne encore, il est temps d’ouvrir les yeux. Cela mérite de s’informer sur toutes situations similaires… » Je peux prouver que je suis une maman aimante, bienveillante, avec un travail et qui s’assume seule financièrement. Si je suis là aujourd’hui, c’est parce que j’estime vraiment que ma fille est en danger. Je fais appel aux médias car mes plaintes restent sans suite et j’ai peur pour la vie de ma fille et la mienne. Je veux dénoncer les dysfonctionnements et prouver que je ne suis pas un cas isolé. » Gladys a créé une association, une page d’information et de sensibilisation. Elle est en lien avec d’autres parents, vivant des situations étrangement similaires… En résumé Au niveau pénal classement sans suite de la plainte pour agression sexuelle incestueuse après une enquête bâclée Au niveau du JAF droits de garde du parent toxique Au niveau du JDE volonté de retirer les droits de garde de la maman protectrice. Depuis quand la présomption d’innocence des accusés est au détriment de la présomption d’innocence des victimes ? Quelle est la valeur de l’innocence et de l’intégrité d’un enfant aux yeux de la justice ? Quand le déni institutionnel glisse vers la complicité et la non assistance à personne en danger, quelle est la meilleure posture à adopter ? ou comment ne pas être dans l’illégalité ?! Gladys est accusée de non représentation d’enfant et menacée par l’ASE de retrait de ses droits de mère. Ne rien dire c’est accepter, ne rien faire c’est cautionner. L’équipe Wanted Pedo
Lecalendrier des vacances et congés scolaires pour les années scolaires de 2021-2022 à 2023-2024 est fixé comme suit :. Année scolaire 2021-2022. L’année scolaire commence le mercredi 15 septembre 2021 et finit le vendredi 15 juillet 2022:. le congé de la Toussaint commence le samedi 30 octobre 2021 et finit le dimanche 7 novembre 2021 ;; les vacances deConsultezle calendrier scolaires et les dates des vacances de Toussaint, Noël, d'hiver, de printemps et d'été des zones A, B et C. Prérentrée des enseignants : mercredi 31 août Rentrée scolaire 2022-2023 : jeudi 1er septembre . Aller au contenu principal le menu du portail Masquer le menu du portail. Ministère. Ministère. Missions et organisation du
Ladécision a été mise en délibéré par mise à disposition au greffe au 20 janvier 2022. 2/13 Tribunal judiciaire de Lille – RG n°N° RG 21/06683 – N° Portalis DBZS-W-B7F-VUO5. L’absence de procédure en assistance éducative ouverte au bénéfice des enfants mineurs a été vérifiée pendant le temps du délibéré.
Divorce, père, enfant… La séparation amène un risque de fragilisation du lien parent-enfant, et le plus souvent cette fragilisation concerne le lien père-enfant. La fréquence des contacts entre le père et l’enfant, si elle ne préjuge bien sûr en rien de la nature ou de la qualité de leur relation, en est un indicateur important. Le plus souvent, c'est le Juge des Affaires Familiales qui fixe un cadre après avoir entendu les désidératas des deux parents, et éventuellement des enfants. Franck F. Furstenberg 46 met en évidence certains facteurs exerçant une influence sur la fréquence des contacts entre les enfants et le père - Le fait de payer ou non la pension alimentaire contact moins fréquent si le père ne paye pas. - Le temps écoulé depuis la séparation contact moins fréquent au fur et à mesure que la séparation est ancienne. - L’éloignement des domiciles des deux parents contact moins fréquent s’ils sont éloignés. - Le niveau d’étude des parents contact plus régulier quand le niveau d’études est plus élevé. - La formation ou non d’un nouveau couple contacts plus fréquents lorsque le père vit seul. Après la séparation, environ un tiers des enfants ne voient pas leur père, 20% des enfants voient leur père toutes les semaines, 20% tous les quinze jours et environ 25% moins souvent 150. Il s’agit d’une proportion qui reste stable au cours du temps. La loi de 1993 remaniée en 2002 sur la conservation de l’autorité parentale conjointe après un divorce rend caduque les termes de droit de garde » ou de visite » puisque les deux parents ont par définition un droit de garde. On parle davantage d’hébergement confié à l’un ou l’autre des parents. Les termes de droit de garde et de visite sont cependant encore très utilisés dans la pratique, y compris dans la pratique clinique. 22 Différentes possibilités d’hébergement Dans les années 1950, après un divorce, le partage de la fonction parentale s’effectuait de la manière suivante la mère recevait le droit de garde physique » de l’enfant et assurait les soins corporels tandis que le père détenait la garde légale » et l’autorité parentale et décidait des valeurs éducatives et religieuses à transmettre à l’enfant 71. Ce partage traduisait l’existence d’une séparation nette entre les éléments relevant de la fonction maternelle, confiés à la mère, et ceux relevant de la fonction paternelle, confiés au père. Actuellement, le partage progressif de ces fonctions parentales, avec la symétrisation des rôles du père et de la mère, se traduit également dans les modalités d’attribution de l’hébergement des enfants. D’une part, l’hébergement est partagé entre les deux parents dans la plupart des cas que cela soit selon le modèle classique » un week-end sur deux et la moitié des vacances chez le parent 64 qui n’a pas l’hébergement principal », ou sous la forme d’une résidence alternée. D’autre part, l’hébergement est parfois confié au père, alors que cela n’aurait été envisageable que dans des situations très particulières il y a quelques dizaines d’années. Beaucoup de débats, de polémiques existent concernant les différents modes d’hébergement, et en particulier en ce qui concerne la résidence alternée, mais aucune étude ne démontre la supériorité de l’un ou l’autre des modes d’hébergement. 71 La notion d’ intérêt de l’enfant » constitue le premier critère pour toute mesure le concernant, y compris lors des procédures de divorce. Il s’agit d’une notion développée dans la Convention internationale sur les droits de l’enfant » de 1989 161. Cette convention prévoit que l’Etat doit garantir à tout enfant capable de discernement » le droit d’exprimer son opinion sur toute question l’intéressant. 22 Lorsqu’un enfant est estimé avoir suffisamment de discernement, le Juge des Affaires Familiales JAF peut demander à l’entendre pour lui demander son avis concernant l’organisation de ses conditions de vie après la séparation. Un enfant peut également solliciter le JAF en lui demandant une entrevue pour lui faire part de son point de vue. L’hébergement chez l’un des deux parents Pendant de nombreuses années, la question de l’hébergement des enfants s’est relativement peu posée, dans le sens où, à de rares exceptions près, c’est la mère qui assumait celui-ci. Lorsque le père assurait l’hébergement des enfants, c’était en général parce que la mère était absente ou considérée comme défaillante. Le pôle mère-enfant était envisagé comme un ensemble difficilement dissociable, que la séparation ne venait pas remettre en question. 22 Actuellement, les cas de figures observés sont plus variés et il n’y a plus de modèle unique. Souvent, l’hébergement des enfants demeure confié à la mère, et c’est particulièrement le cas lorsque les enfants sont jeunes. La mère est en effet souvent, dans les premières années de son enfant, dans une proximité physique avec lui plus grande que celle du père. Elle assure généralement la plus grande part des soins corporels et lui attribuer l’hébergement semble alors une solution logique. L’hébergement est attribué au père dans moins de 10% des cas 22. Habituellement, il faut que celui-ci le demande pour que cette éventualité puisse être réellement envisagée. C’est plus souvent le cas lorsque les enfants sont plus grands ou adolescents. Alain Lazartigues 87 souligne bien cette prérogative encore souvent accordée à la mère en ce qui concerne l’hébergement des enfants, et y voit l’occasion d’un renforcement du rôle occupé par la mère dans la vie de son enfant On voit que le centre de gravité de ces nouvelles familles va se situer chez la mère, personne la plus stable dans la vie de l’enfant, parent conservant à la différence du père presque toujours la parenté domestique, qui vient s’ajouter aux liens de parenté instituée et biologique qu’elle a également. » Pour Alain Lazartigues 87, s’instaure ainsi une forme de pouvoir » de la mère sur la vie de son enfant, par rapport auquel il suggère une certaine vigilance. 65 Comme le note Catherine Jousselme 71, lorsque l’hébergement d’un enfant est confié au parent de sexe opposé, on retrouve souvent une réactivation du conflit œdipien, et ce quel que soit l’âge de l’enfant. La résidence alternée Certaines familles optent pour la résidence alternée, c’est-à-dire que les enfants habitent alternativement chez l’un puis l’autre des parents. Cette possibilité n’existe de manière claire dans la loi que depuis le 4 mars 2002 22. Cette loi, dans la perspective de maintenir autant que faire se peut le lien entre l’enfant et ses deux parents après la séparation, facilite en effet fortement la possibilité d’instauration d’une résidence alternée et cite clairement cette éventualité au même titre que l’attribution de la résidence à l’un des deux parents. La mise en place d’une résidence alternée est une pratique en augmentation, mais qui concerne toujours une proportion relativement faible des séparations et divorces 10 à 12 % des cas et reste souvent l’apanage des classes les plus favorisées de la population 71. Les modalités pratiques sont fixées par le Juge des Affaires Familiales, avec un temps de présence des enfants au domicile de chacun des parents relativement équivalent en pratique, souvent par plages d’une semaine. La mise en place d’une résidence alternée suppose un certain nombre de conditions dont on sait qu’elles garantissent généralement sa réussite 2271 - Entente relativement préservée entre les parents et confiance réciproque, qui leur permettent de continuer à communiquer régulièrement au niveau organisationnel. - Parents et enfants en position de demandeurs de la résidence alternée, et capables de suffisamment de flexibilité les enfants en particulier doivent pouvoir s’adapter à une alternance entre deux environnements qui peuvent être différents. - Proximité géographique afin de maintenir l’unité de vie des enfants même établissement scolaire, mêmes activités extra-scolaires …. - Niveau de vie suffisant car coût non négligeable nécessité d’avoir du mobilier, certaines affaires en double. - Valeurs communes et absence de différences de mode de vie trop importantes d’un domicile à l’autre. Quand les conditions ci-dessus ne sont pas réunies, la résidence alternée n’est en général pas instaurée. Les avantages relevés sont la possibilité pour les enfants de conserver des liens réguliers avec chacun de leurs deux parents, la possibilité pour les parents de ne pas négliger leur vie personnelle souvent privilégiée la semaine d’absence des enfants du domicile mais de continuer à voir régulièrement leurs enfants. Les inconvénients mis en avant par ces familles sont souvent les difficultés adaptatives des uns et des autres à des changements importants et réguliers de mode de vie, l’impression pour certains enfants d’être en permanence en transit » 71. 66 Pour les jeunes enfants, la résidence alternée est rarement envisagée, car malgré l’égalisation entre les sexes, tant au niveau juridique, qu’en matière de soins apportés à l’enfant, on considère bien souvent que les soins au très jeune enfant sont l’apanage de la mère. L’idée de la résidence alternée pour les jeunes enfants suscite d’ailleurs de nombreuses controverses et beaucoup d’auteurs l’estiment néfaste, sans que tous ne soient d’accord concernant la détermination d’un seuil d’âge à partir duquel ce type de résidence serait plus envisageable. Françoise Dolto 34, par exemple, estimait en 1988 que jusqu’à 12 ou 13 ans, la garde alternée est très néfaste pour les enfants. » D’autres auteurs ont préconisé d’autres seuils d’âge 3-4 ans Stéphane Clerget, Maurice Berger ; 6 ans Romain Lieberman 22. Jean le Camus et Michèle Laborde 22 recommandent quant à eux une adaptation au cas par cas. Il est par exemple possible d’organiser une résidence alternée sans qu’il n’existe forcément d’équivalence concernant le temps passé chez chacun des parents, au moins au début. La résidence alternée doit également faire face à d’autres critiques. Jacqueline Phélip 123 condamne le fait que les enfants soient traités comme relevant d’un droit de propriété » des parents. Elle pointe l’absence de repère pour les enfants, et entrevoit un risque de difficulté pour eux à construire leur personnalité. D’autres auteurs viennent nuancer ces positions quelque peu alarmistes. C'est le cas de Catherine Jousselme 71 qui considère que, le plus souvent, après 6 mois de résidence alternée, les enfants trouvent leurs repères. Elle souligne l’importance de la continuité d’un domicile parental à l’autre, car le changement de maison peut réactiver, chaque semaine, la souffrance liée à la séparation, et être source de fatigue. Jean le Camus et Michèle Laborde 22 soulignent également positivement le fait que la résidence alternée permet d’éviter les ruptures de liens avec le parent qui serait non gardien » souvent le père en cas de résidence classique ».Unesemaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires) Allociné Presse. Allociné Spectateur . Télécâble Sat. Film Comédie dramatique, France, 2009, 1h38. Voir la bande annonce. A cause de la séparation de ses parents, Léa, 12 ans, devra désormais partager son temps entre son père et sa mère. La fillette rend sa mère, riche femme d'affaires, responsable Association aide divorce Adresse juge des affaires familiales Chelles Juge aux affaires familiales adresse suivante Tribunal Judiciaire ChellesTribunal de grande instance Meaux 7710044 avenue Salvador Allendé BP 23077108 MEAUX CEDEX01 60 09 75 00 Fonctions du juges aux affaires familiales de Chelles Essentiellement le juge aux affaires familiales de Chelles est compétent pour connaître des actions relatives aux procédures de divorce et de séparation de corps, de leurs conséquences, à la détermination des titulaires de l’autorité parentale et des conditions de son exercice, aux modalités d’exercice des relations entre un enfant et ses grands-parents et enfin à la tutelle des enfants mineurs. Comment saisir le juge aux affaires familiales de Chelles sans avocat ? Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales de Chelles en lui adressant un courrier. Vous devez y indiquer vos nom, prénom, date et lieu de naissance, adresse ainsi que ceux de votre adversaire et le motif de votre demande. Vous pouvez vous adresser au juge aux affaires familiales de Chelles par courrier ou en vous déplaçant au tribunal. Gardez bien copies de la demande et des pièces que vous joindrez à ce courrier. La représentation par un avocat n’est pas toujours obligatoire selon les matières, mais elle est conseillée étant données les conséquences que peuvent engendrer certaines décisions judiciaires. .Pour saisir le juge aux affaires familiales de Chelles, vous devez impérativement communiquer certaines pièces Copie de votre pièce d’identité ;Copie intégrale de votre acte de naissance ;Copie intégrale de l’acte de naissance de chaque enfant concerné par votre demande ;Copie intégrale de votre acte de mariage et de votre livret de famille le cas échéant ;Copie du jugement de divorce ou de séparation de corps ;Copie de toute autre décision de justice ayant un lien avec votre situation familiale. Résumé de la page Adresse juge aux affaires familiales de Chelles en principe l'association d'aide au divorce AAD propose un avocat en divorce sur Chelles. Celui-ci est signataire des chartes de l' Association. Si vous vous posez des questions concernant ce qu'il faut savoir sur le thème Adresse juge aux affaires familiales de Chelles, n'hésitez pas à demander notre avis en laissant une question. Nous ferons en sorte, dans la mesure du possible, qu'un avocat vous éclaire gratuitement. Questions de procédure de divorce Questions posées concernant le juge aux affaires familiales de Chelles Recherche coordonnées sur Chelles On m’a dit de m’adresser au juge aux affaires familiales de Chelles pour mes enfants. Où dois-je le contacter et comment ? Saisir le juge aux affaires familiale sur Chelles Étant séparé, avec un jugement prononcé sur Chelles et une garde de mes enfants un week end sur deux et moitié des vacances, ma question concerne les vacances d’été. J’ai besoin de saisir le juge sur Chelles car c’est pas clair. Je dois avoir mes enfants la première quinzaine de juillet, et d’août dixit le jugement . Les vacances scolaires débutent le 08/07, les 15 jours débutent il depuis cette date jusqu’au dimanche +15? Mon ex conjointe souhaite me donner mes enfants qu’une semaine, jusqu’à mi juillet, chose que je ne suis pas d’accord. Pouvez vous m’éclairer sur ce sujet ? Et m’indiquer aussi les coordonnées du juges aux afffaires famlilailes de Chelles pour refaire un nouveau jugement.
Bonjour, Un premier jugement à été rendu concernant la garde de ma fille, auquel je ne me suis pas rendu car la mère m'a soutenu que ce n'était pas utile, devant le JAF. Cependant un premier mensonge a été évoqué lors de ce jugement comme un salaire de 1600 euros que je ne percevais pas par exemple ... Ce premier jugement à statué une garde libre en accord avec la mère, la résidence de ma fille chez la mère ainsi qu'une pension alimentaire de 250 euros/mois alors que je percevais et perçois toujours env. 460 euros étant au RSA. Je n'ai pas fais appel car la mère m'a toujours laissé voir ma fille jusqu'au jour où j'ai rencontré quelqu'un. Ensuite je n'ai pas eu une seule nouvelle, bloqué par tous les moyens de communications possible pendant plus de 5 mois. Dans un premier temps j'aimerais savoir ce que je peux faire pour ce premier mensonge de faux salaire perçu ainsi que pour la pension alimentaire ? Un second jugement, à ma demande, à été effectué afin que je puisse revoir ma fille. Pendant ce second jugement d'autres mensonges ont été dits par l'avocate de mon ex-compagne et par mon ex-compagne - j'aurais laissé dormir ma fille dans la voiture pendant que je faisais la fête avec lettre de faux témoin à l'appui - que je n'avais pas de lit, ni de chambre pour ma fille et que je dormais avec elle - que je l'avais harcelé téléphoniquement à son travail - que je n'avais jamais déboursé un centime pour ma fille - que je sautais des repas à ma fille car je la trouvais trop grosse - et j'en passe ... Toutes ces accusations sont fausses. Évidemment mon avocat à dit que nous étions contre tout cela mais nous ne sommes pas allé plus loin. Nous avons simplement demandé le droit de garde 1 week end sur deux, la moitié des vacances scolaires ainsi qu'une suppression de la pension alimentaire. j'attends la décision car il y aurait du retard apparemment -Je vous précise également qu'elle à portée plainte après le jugement contre moi pour injure public sur facebook non-fondé et à également notifié dans cette plainte que j'avais été violent avec elle physiquement pendant la période où l'on était ensemble avec lettre faux témoin également. Je vous informe qu'avant notre séparation j'avais demandé un "break", elle s'est énervé dans tous les sens et j'ai retenu ses coups en lui tordant le doigt ce n'était pas intentionnel. Elle à un ITT de de 3 jours de mémoire mais n'a jamais porté plainte pour cela. - Je vous informe également que mon ex-compagne à quitté l'endroit où nous étionsà la montagne avec notre fille pour le travail et que j'ai dû resté là bas pour des raisons financières car sinon elle et ma fille n'auraient pas pu survivre car elle s'était fait licencié de son travail sans indemnités ! Elle n'a pas mis longtemps à prendre les devant, signer à ma place la fin de bail de notre maison en location que je n'ai jamais revu ainsi qu'une très grande partie de mes meubles etc etc ... En revanche je peux obtenir toutes les preuves de ce que je vais avancer elle m'a harcelé pendant plusieurs mois, insulté ma nouvelle compagne à plusieurs reprises et surtout à harcelé moralement, téléphoniquement et continuellement pendant 1 année et demi ma mère, ma sœur et une bonne partie de mon entourage ! C'est compliqué je sais .. Ma seconde question est la suivante - que puis-je faire pour toutes ses fausses accusations ainsi que pour le harcèlement ? Bien Cordialement et merci d'avoir lu ce poste jusqu'au bout. Alfred
- Гθслаσሩ ո
- Хыτиሀևցጩቷ таሒаዣለша
- Фиዬыξա մегጅψиթу
- ኇоሉυτሡнω абрαсωχ ոցыроρሪтро